2 avril 2008
MOISSON D'AVRIL
Quand je pense à toi, aux mails échangés, aux confidences faites sans une seule rencontre, je me dis que c’est tout de même extraordinaire.
Je suis tombé raide dingue de ta prose, tu m’as fais rêvé comme personne et … tes lettres me manquent. Une si belle amitié à distance ne peut pas s’arrêter. Ok beau gosse, je suis de plus en plus débordée, mais j’ai toujours 5 minutes pour toi (comme pour tous mes amis).
Publicité
Publicité
Commentaires
C
A
M
D
E